Salut à tous.
Sortant d'une longue période d'abstinence velocipedique, tout juste compensée par la course a pied, je suis bien décidé à reprendre mes marques sur le biclou.
Ce sera donc par la route parce que c'est moins dur que se reconstituera mon capital roulage.
Ce midi, donc, tous pleins faits, je décide de partir vers les monts du Forez. Un objectif-test: la montée de Bazourges et ses 9 % , pour le reste du parcours, ce sera à l'avenant. Après 25 min de plat, j'attaque le morceau. Étonné je suis, c'est sans souffrir et sur du 36/19 que je passe , pour rejoindre Boisset st Priest. Puisque les jambes y sont, j'enchaîne sur Margerit Chantagret, puis direction Gumieres. Avant l'entree du village, la D44 me tend son ruban bitumineux sur la droite ... Allez, zou, Verrière en Forez n'est qu'à 7 km. Et là, c'est le panard offert par cette route que je ne connaissais pas mais si familière, car typique du Forez, avec ses hameaux perdus, ses trouées de végétation laissant contempler la plaine par petites touches impressionnistes... L'heure avançant, il faut revenir à la civilisation, par une descente régulière vers Lezigneux puis le plat qui me ramènera de Montbrison a Veauche. En dépit de sa fréquentation par les poids lourds et de l'habitude que j'en ai, avec l'odeur des haies en fleurs, je ne l'ai même pas trouvé ennuyeux... Une réussite, donc. Et l'envie de recommencer bientôt, peut être pour le col de l'homme mort , Ou le Barracuchet...
Sortant d'une longue période d'abstinence velocipedique, tout juste compensée par la course a pied, je suis bien décidé à reprendre mes marques sur le biclou.
Ce sera donc par la route parce que c'est moins dur que se reconstituera mon capital roulage.
Ce midi, donc, tous pleins faits, je décide de partir vers les monts du Forez. Un objectif-test: la montée de Bazourges et ses 9 % , pour le reste du parcours, ce sera à l'avenant. Après 25 min de plat, j'attaque le morceau. Étonné je suis, c'est sans souffrir et sur du 36/19 que je passe , pour rejoindre Boisset st Priest. Puisque les jambes y sont, j'enchaîne sur Margerit Chantagret, puis direction Gumieres. Avant l'entree du village, la D44 me tend son ruban bitumineux sur la droite ... Allez, zou, Verrière en Forez n'est qu'à 7 km. Et là, c'est le panard offert par cette route que je ne connaissais pas mais si familière, car typique du Forez, avec ses hameaux perdus, ses trouées de végétation laissant contempler la plaine par petites touches impressionnistes... L'heure avançant, il faut revenir à la civilisation, par une descente régulière vers Lezigneux puis le plat qui me ramènera de Montbrison a Veauche. En dépit de sa fréquentation par les poids lourds et de l'habitude que j'en ai, avec l'odeur des haies en fleurs, je ne l'ai même pas trouvé ennuyeux... Une réussite, donc. Et l'envie de recommencer bientôt, peut être pour le col de l'homme mort , Ou le Barracuchet...